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CSAIA

Mission

Le Centre d’études a pour mission de rassembler les connaissances interdisciplinaires, à la fois scientifiques et humanistes. 

Il était donc essentiel de combiner l’aspect humaniste de la question avec la jurisprudence, la philosophie, les arts, le droit du travail, ainsi que la médecine, l’ingénierie, la physique, les mathématiques et la cybersécurité.
Nous avons voulu impliquer à la fois les universités et les entreprises de recherche à 360 degrés, convaincus que les études et les applications de l’intelligence artificielle peuvent découler d’une voie de collaboration entre les secteurs public et privé. 

Un outil qui est entre les mains de l’homme, une véritable nouvelle révolution industrielle du troisième millénaire. La grande innovation que représente ce Centre d’Etudes réside dans le fait de penser l’intelligence artificielle impliquant tous les domaines de la connaissance : en cela le Centre d’Etudes a été le premier à arriver. Il n’y a pas de réalités concrètes, à ce jour, dans lesquelles il y a une union entre des disciplines aussi différentes que dans notre réalité.

L’intelligence artificielle va traverser notre vie sociale, c’est un saut anthropologique très délicat, c’est une question philosophique.

Le CSAIA représente un projet ambitieux qui nous met en phase avec l’avenir qui est déjà arrivé, au-delà de la rhétorique, et qui veut combiner la dimension scientifique avec la dimension culturelle, la composante académique avec la dimension industrielle et professionnelle. 

L’intelligenza artificiale attraverserà la nostra vita sociale, è un salto antropologico molto delicato, è una questione filosofica. Serve consapevolezza, dobbiamo studiare questo nuovo strumento, non dobbiamo esserne dominati e questo anche grazie al frutto delle nostre ricerche, che metteremo al servizio della società, attraverso un parterre molto assortito, che fornirà un osservatorio veramente importante. L’intelligenza artificiale va a impattare sui profili normativi, andiamo a toccare punti sensibili della convivenza civile e riteniamo che ci sia una strumentazione che deve necessariamente aggiornarsi. L’impianto normativo risulta in ritardo rispetto ai nuovi scenari che si aprono e questo è un altro aspetto su cui puntiamo l’attenzione. Il fine sono la promozione umana e la convivenza pacifica, il rispetto delle libertà fondamentali dell’individuo, il concetto di sicurezza. Il campo dell’etica è prioritario in questa discussione.